Saviez-vous que les genoux sont soumis à une force représentant 3 à 6 fois le poids du corps lors de la marche.
On comprend pourquoi le risque de gonarthrose (arthrose du genou) est 4 à 5 fois plus important chez les personnes atteintes d’obésité. De la même façon, les prothèses de hanche sont 2,5 fois plus fréquentes chez les sujets obèses.
Je me permets d’aborder ce sujet, car je fais partie de ces personnes en surpoids. Il est vrai que j’ai entrepris en 2014 des démarches pour améliorer ma condition. J’ai changé mon alimentation en diminuant mes quantités, en arrêtant la liqueur et en commençant à marcher à tous les jours. Au début, je n’allais pas très loin, mais au fils du temps, mon parcours c’est rallonger puisque mes douleurs lombaires, diminuaient à la même vitesse que mon poids, donc plus facile et intéressant de bouger.
Ce 40 livres de moins a eu des effets sur ma santé en réduisant mes malaises gastriques et l’arrêt de ma médicamentation pour la « haute pression ». Sans parler d’un meilleur souffle.
Je n’avais pas de problème de genoux, mais je sais, de par mon métier, que la surcharge pondérale a des effets très néfastes sur les articulations. On dit que perdre 500 grammes revient à soulager les articulations de 2 kg à chaque pas. Si l'obésité peut entraîner des lésions importantes au niveau de l'appareil locomoteur, en revanche, bonne nouvelle, une perte de poids, même modeste (5 à 6 % du poids corporel), peut améliorer de manière très significative l’état fonctionnel des articulations et atténuer les douleurs liées à l’arthrose.
Concernant les lombalgies, le surpoids ne semble pas jouer un rôle déclenchant. En revanche, l’excès pondéral pourrait favoriser le passage à la chronicité de la lombalgie. C’est ainsi que les personnes en surpoids souffrent aussi souvent du dos.
Donc, 2 solutions s’offrent à vous, soulager vos articulations de quelques livres de pression par un léger amincissement (et je sais que ce n’est pas facile, je me suis délester de 40 livres en 2014 !) et/ou se faire masser régulièrement.
On comprend pourquoi le risque de gonarthrose (arthrose du genou) est 4 à 5 fois plus important chez les personnes atteintes d’obésité. De la même façon, les prothèses de hanche sont 2,5 fois plus fréquentes chez les sujets obèses.
Je me permets d’aborder ce sujet, car je fais partie de ces personnes en surpoids. Il est vrai que j’ai entrepris en 2014 des démarches pour améliorer ma condition. J’ai changé mon alimentation en diminuant mes quantités, en arrêtant la liqueur et en commençant à marcher à tous les jours. Au début, je n’allais pas très loin, mais au fils du temps, mon parcours c’est rallonger puisque mes douleurs lombaires, diminuaient à la même vitesse que mon poids, donc plus facile et intéressant de bouger.
Ce 40 livres de moins a eu des effets sur ma santé en réduisant mes malaises gastriques et l’arrêt de ma médicamentation pour la « haute pression ». Sans parler d’un meilleur souffle.
Je n’avais pas de problème de genoux, mais je sais, de par mon métier, que la surcharge pondérale a des effets très néfastes sur les articulations. On dit que perdre 500 grammes revient à soulager les articulations de 2 kg à chaque pas. Si l'obésité peut entraîner des lésions importantes au niveau de l'appareil locomoteur, en revanche, bonne nouvelle, une perte de poids, même modeste (5 à 6 % du poids corporel), peut améliorer de manière très significative l’état fonctionnel des articulations et atténuer les douleurs liées à l’arthrose.
Concernant les lombalgies, le surpoids ne semble pas jouer un rôle déclenchant. En revanche, l’excès pondéral pourrait favoriser le passage à la chronicité de la lombalgie. C’est ainsi que les personnes en surpoids souffrent aussi souvent du dos.
Donc, 2 solutions s’offrent à vous, soulager vos articulations de quelques livres de pression par un léger amincissement (et je sais que ce n’est pas facile, je me suis délester de 40 livres en 2014 !) et/ou se faire masser régulièrement.